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Ces photos proviennent d'un album présentant les réalisations de l'architecte Fernand Pouillon, alors que la ville était encore pleine d'espoir et de confiance en l'avenir.
La plaquette avait été envoyée par Jacques Chevallier à certains députés de la métropole.

DIAR-ES-SAÂDA

 


la cascade


le bassin des dauphins


la tour aux totems


la tour aux totems

 
 


la colonnade


la place des palmiers


l'école de garçons


le marché

 

Avant la construction de Diar-Es-Saâda, les enfants du quartier passaient des moments devenus aujourd'hui inoubliables. Ils chassaient à la glu et au filet, les serins cinis, les chardonnerets et les verderons. Selon le témoignage d'un des anciens de là-bas, Gabriel Gomis, ce vaste terrain s'appelait « la ferme Juan ».

Dès le début de la construction de la Cité du bonheur, les Algérois disaient que la pierre blanche utilisée, pierre qui, soit dit en passant, venait de métropole, s'appelait " la pierre qui pleure ".

Les Algérois prétendaient aussi que Diar-es-Saâda voulait dire en arabe " la pierre qui pleure ". Erreur, bien sûr, mais à Alger, peu de Français parlaient arabe. Ah ! Pleure-t-elle encore, cette pierre, et les murs suintent-ils un peu ou beaucoup ? Nous ne le saurons pas.
En revanche, cher lecteur, nous pouvons vous assurer que les habitants européens, eux, pendant et après l'année 1962, ont beaucoup pleuré
.

DIAR-EL-MAHÇOUL

 


la fontaine


la porte de la mer


le marché


la porte de la Mer

 
 


vue d'avion


le téléphérique


le belvédère


le marché

 
 


la cité "confort normal"


la porte de la Mer


rue de la Zaouia


vue du bois des Arcades

 
 


la fontaine de nuit


la porte de la Mer


le balcon des arcades


Alger de nuit

 


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